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jeudi 27 janvier 2011

Le blog sans images partie 12

Samedi 28 août
D'AUTRES VOIES

Robin arrive. Inch'allah. Vu un monsieur, un professionnel de la justice, par hasard, devant la Mairie, il a du mal à me croire, comme toujours, du coup ma facture ne me quitte pas, elle a piètre allure. Organisé en diable, il me dit ce qu'il faut faire et ne pas faire. Un peu obsessionnel, comme souvent ceux qui font profession de droit. Pas inintéressant, il a fondé une assoc avec un percepteur à la retraite (!) exigeant des explications de la part de leur mairie en raison précisément de l'augmentation énorme du prix de l'eau. Eux aussi. Il semblerait que le percepteur ait refusé de payer l'assainissement et l'ait bloqué chez un huissier. Est-ce légal? à voir en tout cas. 

Des gens sympas, qui signent d'eux mêmes, des amis d'une femme que je connais -le monde comme on dit est petit-, une anglaise installée pas loin, une lectrice. Puis est passé en coup de vent le copain qui a eu une idée, ce n'était donc pas bidon revenu de Paris où il a accompagné son amie, rendez-vous demain. Parfois deux personnes valent mieux que vingt autres pour ces coups du moins. Mais j'avais à faire et ça m'a pris du temps.

Petit contre temps en effet, j'avais promis à un copain de mettre à jour son antivirus périmé, croyant à trois minutes de travail. Ce qui n'était pas prévu, c'est qu'il ne l'avait jamais fait ! Une demi heure de "scan" quatre fois de suite... deux virus trouvés -il a de la chance- et j'y suis encore, il va falloir les mettre en quarantaine et jusqu'à présent je n'ai pas réussi. Un gars cool, quoi, un jeune de surcroît qui surfe -assez peu heureusement- depuis six mois sans antivirus.. c'est à dire depuis que sa copine est partie. Je me suis prise au jeu. Encore deux "scans" !! Il est onze heures et Cris m'attend mais il faut finir. Le blog sur le génocide des roms (lien) a atteint en trois jours 336 visites, un record après grève de la faim (lien). Cela permet de cerner les erreurs -pire que des fautes, comme dirait Talleyrand*- de la politique de Sarko. Là, c'en est une à la mesure sur le plan international de ma facture de 4000 E sur le plan local. Le net donne une indication assez fiable.

 *"Une merde dans un bas de soie" avait dit de lui Napoléon, je crois.

Ça signifie que les gens sont choqués indignés par leur expulsion et ça remonte le moral même pour eux j'espère. 

Note après-coup. Ce blog devint un blog star et atteint actuellement 20 000 je crois -à vérifier- et me coûta de fait une recherche assez longue -un mois à peu près 10 heures/jours- qui m'obligea à mettre en veilleuse les autres dont celui-ci. Pas grave et même très bien finalement. 

Du coup, j'ai fait une petite recherche sur le sanskrit... la langue des roms encore parlée -de moins en moins-, l'hindi dont il est issu étant la base -la troisième la plus parlée dans le monde associée à l'ourdou- que les érudits avaient il y a des lustres mis en forme pour donner le sanskrit dit "langue parfaite", un cas exceptionnel d'une langue à la fois traditionnelle par sa base et recréée de fait, comme l'hébreu moderne en Israël. 

Imaginons qu'on se retrouve en face de gens qui parleraient encore -en partie- le grec classique ou le latin, de véritables "fossiles" linguistiques vivants, phénomène unique ou quasiment, le sanskrit, même en Inde, n'est plus parlé que par de rares familles brahmanes et cette langue des textes sacrés qu'étudient les paléographes ne l'a jamais vraiment été par le peuple. Une aubaine littéraire pareille, que fait-on avec ceux qui nous l'offrent sur un plateau ? Et bien, on les vire ! Dehors les métèques.

Dimanche 29 août

Relâche ! Ca devient comme un boulot. Je m'arrête le dimanche, d'autant que le village est totalement désert. Un village mort.

Lundi 30 août

Temps plus froid, ouf... Relâche encore mais les tracts sont prêts ainsi que de nouvelles affiches. Demain rendez-vous avec le copain. Robin est arrivé ce soir. Le bonheur, pour l'instant. Mal aux dents, terriblement, il paraît que c'est psycho somatique. Les blogs "montent" en visite : normal en septembre, les vacances sont finies.  Ça monte encore sans arrêt pendant tout l'hiver. 

Mardi 31 Août

Jour de marché. Peu intéressant, comme d'habitude. Mais deux membres dont l'un important de l'ancienne équipe -par qui mon affaire est survenue au départ- s'intéressent à mes déboires et l'un m'a même demandé de singner (je laisse la coquille) la pétition que j'avais oubliée. De plus en plus marrant, si ça continue, c'est le maire qui va la signer lui-même. J'ai retrouvé mon affiche volée... saccagée à coup de couteau. Rattrapable, ça fait même genre.

Mercredi 1 septembre
JOJO 

Un message élogieux au sujet du blog sur les roms disant que "je suis belle mais un peu "estabosida"... je ne sais pas ce que ça veut dire mais bon... Demain, c'est l'audience de Jojo, notre Gibie aux prises à des shadoks et des hénormes, la société française d'asphalte, qui à lui aussi a démoli un mur qu'on lui impose à lui de reconstruire. Il faut y être impérativement. Il déprime un peu, juste devant la ligne d'arrivée. Le syndrome de la solitude du coureur de fond, toujours. Sa maladresse est totale : il n'a, m'a-il dit, pas "tout" listé à la juge de ce qu'il subit et a subi de la part de la SFA "pour ne pas avoir l'air du gars qui jérémiade de trop"...  il se réserve de le dire "si besoin est, mais plus tard" ! Il n'a pas compris qu'il n'a pas un autre coup dans le chargeur, que la juge n'est pas une copine qu'il va revoir et qu'il ne faut surtout pas cacher ce qui peut apporter de l'eau à son moulin. LES PAUVRES ONT PEUR DES RICHES ET LES VICTIMES DE LEURS BOURREAUX. On en revient toujours là, ELLES SE TAISENT PAR HONTE DE CE QU'ELLES ONT SUBI. Et plus c'est énorme, plus elles font silence car elles redoutent qu'on ne les croie pas. Qu'il s'agisse d'un terrain saccagé, d'une maison effondrée ou d'une agression, y compris sexuelle, c'est le même problème simplement avec des degrés différents. Je râle: comment a-t-il ainsi pu cacher ses dols ? il n'est peut-être pas trop tard, il faudrait l'écrire et l'apporter tout à l'heure au tribunal. Mais c'est pour demain et il n'aura pas le temps de transmettre à sa partie adverse qui risque de demander le renvoi. Aider ceux qui s'aident si peu, mission difficile.

 Jeudi 2 septembre

Audience au tribunal pour Jo. Arrivée à 8 heures 40, en avance pour une fois. Personne, puis les gens arrivent en masse, le brouhaha, les avocats en toge, des quidams inquiets, côté avocats, ça bavarde, rigole, une dame en vêtement noir, pas tout à fait une toge, elle n'a pas d'hermine au bout de l'écharpe, gentille,  passe,  cherche quelque chose, on la salue partout dans la salle... enfin, une toute jeune ouvre la porte comme au théâtre, je la distingue mal, tous se lèvent mais non, elle fait asseoir, elle aussi cherche quelque chose... puis ça y est, un gros dossier est posé,  à nouveau un "debout-assis" et elle ouvre la pile, appelle. Des avocats arrivent, chuchotent, on n'entend rien, bla bla bla... ils s'en retournent, parfois disent deux mots à quelqu'un dans la salle et sortent ou se réinstallent pendant que la présidente appelle encore... si bien qu'au bout d'un moment de ce ballet mal chorégraphié, il est très difficile d'entendre et même de voir quoique ce soit si on n'est pas aux deux premiers rangs et encore... Et le fait est que son avocate n'a pas entendu le nom de Jojo... mais les deux autres avocats de la partie adverse, si, et les voilà qui discutent sur l'estrade avec la présidente, puis elle survient, trois mots et go, fini, expertise assez rapide, il s'en est bien tiré quoique... La SFA qui lui a saccagé son terrain et son mur, à présent, se retourne contre la société sous traitante qui a benné ses déchets -quoi?- dans le puits... tels "deux mis en cause" qui chacun rejettent la faute sur l'autre... C'est plutôt marrant au fond. 
Je demande en sortant les consultations juridiques on me dit que ça sera ce lundi -une fois ou deux par mois- mais qu'il faut arriver vers 7 heures voire avant et attendre dehors en file parce qu'il y aura surement un monde fou -c'est la rentrée- et qu'ils ne peuvent prendre que 18 personnes. Au delà, on s'en retourne même si on a fait des kilomètres à l'aube dans  le meilleur des cas, en voiture, et dans le pire, en mob, train-bus ou auto-stop et si on a attendu debout dans le froid deux heures devant le tribunal, rendez-vous dans 15 jours.  
Une image de la société assez éprouvante que reflètent ces procès où parfois s'étalent la misère à la fois matérielle et intellectuelle et morale -la méchanceté; et l'âpreté au profit si minime soit-il-. On voit de braves gens pas très au point comme Jojo -ou moi dans une certaine mesure-... harassés, des retors et d'autres qui se battent pour un vélo... Et entre tous, on ne sait parfois pour qui voter.

UN SALAUD ORDINAIRE, NUL 
N'EST MÉCHANT VOLONTAIREMENT

Il arrive même qu'on ait une envie de rire irrépressible, telle la fois où un type était très attendu "non paiement de pension alimentaire pour ses enfants", le sale gus, un flag qui allait, comme la présidente avait prévenu, retarder toutes les autres affaires prévues, la tuile, quoi.. Et on vit arriver un pauvre type frêle l'air d'un ado, menotté, rasant les murs s'il l'avait pu... A la barre, d'une voix à peine audible, il avait reconnu les faits et s'en était excusé, il était au chômage et venait d'être expulsé de son appart etc... Et c'est là que son avocat avait plaidé "mon client est très pudique, il ne vous dit pas tout... il s'est mis en ménage avec une femme qui a déjà trois enfants dont il s'occupe parfaitement... et depuis leur expulsion, ils vivent en mobil home à six car ils en ont eu un ensemble... et euh... ils vont en avoir un autre dans quelques mois..." C'est là que la toute jeune présidente, les yeux écarquillés, l'avait coupé en lançant au gars accablé: ô, Monsieur !!! Vous n'êtes pas raisonnable !" et que j'avais dû sortir pour ne pas éclater de rire en public. J'ai encore entendu l'avocat dire "si vous le mettez en détention, ce sont quatre enfants qui vont se retrouver à la DDASS et bientôt un cinquième!" Un fou rire malvenu certes, comme jamais, la juge nous avait dit, "ça peut être rapide ou durer une heure et en ce cas les autres affaires seront reportées, désolée"... Là, elle avait eu un geste fataliste vers nous genre "allez-y, vous voyez bien que ça se complique"... Certes, à côté de ce drame injugeable, qu'étaient de petites histoires un peu ridicules?
Le pauvre "flag" était un bon père si l'on veut.. dépassé par les événements (!) au chômage mais avec cinq petits, et dans une caravane... ne pouvant évidemment plus faire face à ses propres -premiers- enfants et le "salaud" attendu se révélait être une victime pitoyable. Son ex femme, bien-mise, aimable, employée à la sécu, semblait finalement aussi navrée que lui. Obligée soulignait-elle de porter plainte par les services sociaux qui lui avaient accordé une pension d'urgence, elle n'était pas là de gaîté de cœur elle aussi.
  Il y a des aficionados qui ne décollent pas. Un spectacle gratuit. Voyeurisme ? Pas forcément.

Vendredi 3
EN VRAC

Une amie passe, triste. 4000 Euros valent-ils de perdre une amitié ? non. Mais l'honneur, si.

Samedi 4 septembre

Réveil matinal par Djamil... qui veut savoir l'adresse de Sarko  pour envoyer la lettre que je lui ai faite avant hier ! Ensommeillée, je lui dis "Palais de l'Elysée" mais il veut savoir s'il n'y a pas un nom de rue, on ne sait jamais, ça peut se perdre... 

Juste après, clash -sans intérêt- avec le maçon. Il a néanmoins réparé ce qui avait été abîmé soit par les travaux, soit par l'effondrement de la maison. Sans enthousiasme, c'est le moins que l'on puisse dire. Passé la journée à "mouiller" les escaliers dont les bords cassés venaient d'être réparés, ils avaient été fracassés par des pierres tombant depuis le dernier étage pendant qu'ils travaillaient sur la toiture car ils n'avaient pas mis de protection. Du coup, je n'ai pas pu aller à la manif, je râle... La porte est enfin mise, et les soudures qui TOUTES ont lâchées ont été refaites. Ainsi que les écoulements dont plusieurs avait été ratés -tout est inondé au rez de chaussée-. Le chauffe eau-marche, un petit miracle, pendant les travaux sur la toiture, les apprentis projetaient des tuiles... parfois dessus lorsqu'ils rataient leur jet et j'avais in extremis mis une protection et protesté... "Mais il est foutu, ce truc" avait rétorqué en ricanant un tout jeune stagiaire qui ne fumait pas que des marlboros ... le même avait cassé ce que je supposais être de l'amiante -c'est plus facile pour le mettre dans le sac à gravats- et lorsque je l'avais engueulé, m'avait assuré que ce n'était absolument pas dangereux, de fausses idées qu'on nous met en tête à cause de la télé etc... Sans commentaires. Félix certes est excellent, d'autres aussi, mais certains ouvriers, les très jeunes souvent font un peu n'importe quoi et je suis sympa. La maison prend tournure enfin. J'ai lâché la mairie mais demain il faut que j'y retourne. Bizarrement, tout va bien. Est-ce de voir ces travaux enfin se terminer?  

Dimanche 5 septembre 

Minuit, chez Manu. Crevée par les travaux et pourtant je n'ai pas fait grand chose, c'est Cris et Robin qui se sont cognés tout. Les évacuations ont été laissées telles que par nos joyeux lurons de maçons c'est à dire bouchées-irrattrapables... et c'est nous qui avons dû les refaire -repercer-. On en a raté encore une, tout a été à nouveau inondé dans la galerie, plus que jamais ce coup-ci car on avait vidé des seaux et des seaux dans l'évier du troisième étage. Je n'ai fait que nettoyer, grosse tâche tout de même. La peinture -refaite! - a cloqué, il va falloir tout reprendre au plafond.

DES GENS MESURES ET SANS ARRIÈRE PENSÉE

Des jeunes, des footballeurs, légèrement éméchés, sympas, me parlent du chemin et de ma facture d'eau. L'un d'entre eux est spécialisé en espace verts, sympa... En gros, ils sont tous d'accord mais un peu désabusés. Ils déplorent la passivité des "gens" -encore les "gens"!- et pensent -à tort- que c'est seulement parce que je suis auteur que ça va s'arranger. L'un d'eux connait bien le maire et pense qu'il est écolo passionné du pays... et au fond d'accord avec nous au sujet du chemin entre autre. Soit. Mais les actes ne suivent pas voire suivent a contrario. "Je dis-je dis-et je fais pas".

 Il faut leur montrer que ce n'est pas "moi" qui aie agi seule... ou que même si au départ, ça s'est un peu passé comme ça, cela me dépasse et les concerne eux finalement bien plus que moi. J'ai l'impression d'être une gamine utopiste et qu'ils sont eux des adultes désabusés, inversion assez régulière des didascalies. 
Le scoop, l'un d'entre eux est gitan et, enfin, j'ai trouvé, parle sinti. Génial. La maison est presque réparée.  
Ils sont de plus en plus éméchés, je rentre, Bertrand et Katy viennent demain et il faut encore nettoyer et s'occuper des chiens.  

Lundi  6 septembre

Un peu de spleen. Robin part tout à l'heure. Il est bien peu resté cette fois. Expos, Paris, Deauville, sa vie est à présent bien tracée comme la mienne ici et je n'y ai pas plus place que lui à St Ambroix. Un peu plus tout de même car ici ce n'est vraiment pas marrant. Mais ça me laissera les mains plus libres. Dommage, tout allait si bien. Le temps perdu ne se rattrape jamais, contrairement au cliché.

Impossible de joindre l'expert, décidément, sa messagerie est saturée, ses mails ne disent rien etc... Serait-il en dépression ? En faillite ? Il est sympa d'habitude, il doit y avoir quelque raison grave. Je ne suis peut-être pas la seule à avoir des hauts et des bas et être ingénieur des mines ne protège pas de ces aléas. Je vais re essayer. Presque pas dormi. Pas fatiguée pourtant.

VITESSE LIMITEE.. A 30 KM/H 
 
Contretemps, Bertrand et Katy sont passés mais ils ne comptaient pas rester, contrairement à ce que je pensais, et Robin et moi avons dû filer à Alès pour le train. Malgré les grèves, il y aura demain le TGV prévu donc inutile pour lui de sauter dans celui-là si bien qu'on est retournés ensemble et lorsqu'on est arrivés, ils étaient quasiment prêts à partir, juste ennuyés de ne savoir où poser les clefs. On les a vus à peine vus 5 minutes. Un détail, si la SNCF comme autrefois répondait au téléphone, on aurait économisé 40 kilomètres dont trois de bouchons à l'entrée d'Alès où la limitation, à laquelle je me tiens par principe, est à 30 km/h, moins que la vitesse de course normale de Vôtan en demi élan. Bof, si ça sauve des vies et c'est trop marrant de voir les gus furax, coït interrompu en BM rutilante 16 chevaux sous la pédale queue à queue quasiment au pas sur 3 kilomètres, parfois doublés par des joggers hilares. 

On va voir si le système de récup d'eau fonctionne, de la pluie est annoncée, quasiment un déluge. Et en ce moment, il pleut en effet, juste un peu... ET LA CUVE EST DÉJÀ REMPLIE !! Le maçon jurant ses grand dieux et diables que ça ne pourrait pas marcher [forcément, ce n'est pas lui qui l'avait réalisée!] avait fini par me faire douter. Le bricolage astucieux de Cris a parfaitement réparé la boulette. Moralité, souvent, King varie -ou se trompe- et bien fol est qui s'y fie... Reste que je l'ai conçue ridiculement faible, 300 litres, il en faudrait une autre au moins. 600 litres, combien de temps tient-on avec, douche, lavage, et cuisine -avec un filtre évidemment-? Pas longtemps d'après Mr Bnj mais ils ont cinq enfants. Il faut économiser. Douche après savonnage, lavage rapide du linge, vaisselle sommaire, le soleil désinfecte et supplée aux lessives etc... N'empêche, qu'on se le dise, ça marche à condition de prévoir une gouttière assez profonde et de l'installer juste où il faut, tout un art qui tient compte de la pente de la toiture et de son exposition, du vent et de la force variable de la pluie... Là, ça colle, pas une goutte de perdue, sauf en bout et c'est volontaire -car on va mettre une autre cuve de ce côté-là-. 
Une heure du mat, le Ranquet, crevée à présent, mais... Robin me parle d'un article de Midi-Libre, une interview de la fille vietnamienne de Chirac sur les roms, des propos particulièrement odieux,  il faut voir ça. 

Je l'ai rajouté sur le blog "http://tziganes2.blogspot.com" avec un droit de réponse, je dirais plutôt un "devoir" de réponse assez virulent. J'espère qu'ils le feront passer. Ça m'a pris une heure. J'ai si sommeil que je crains de m'endormir en voiture en retournant à St-Ambroix. Demain, lever matinal, TGV et grèves obligent. Trop fatiguée pour même être triste. Un avantage.


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